Olivier Moulard

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Saison après saison, il compile toutes ses nuits dans une seule fable et invente le livre absent de l’antiquité, prolégomène nécessaire à tout potin, joyeux ou pas ; néanmoins, si nombre d’entre eux miment des timidités très exagérées ou prennent sur eux les latitudes du monde, ici aucune quérulence, parce que plus rien ne drogue ni les malheurs ni les malentendus, parce que ceux-ci nourrissent le mou des cellules, parce qu’un paysage de bras tendus phagocyte l’élargissement du champ des consciences ; puis, un ancien fétichisme mathématique papillonne encore de conflits holistiques en dérèglements axiologiques.